je m'appelle kassandra mais on m'appelle kassou, j'ai dix sept ans, et j'ai choisis léa michele parce que cette fille est juste sublime et que le personnage m'attirait vraiment, cela fait presque deux ans que je fais du rpg, et les lignes de mes post partent de la vingtaine à plus. cela dépend de mon imagination et si oui ou non je suis atteinte par la flemme.

Qu'est ce que nous réserve la vie au juste ? Il peut ce passer quelque chose de grave, à l'instant même, dans une minute, dans dix ans, dans un siècle ? Je ne savais pas après tous je ne savais pas grand chose, j'étais juste bonne à m'occuper d'une ferme depuis longtemps. Un coup de fourche par ça, un coup de fourche par là. Des mangeoires remplis, des papiers signé, voilà ce que je faisais de ma vie. Simple assistante d'une ferme pourtant je ne me plaignais pas tant que ça, évidemment c'était pas toujours facile. Mais on s'y habitue très vite. Mais il y a une chose dont je ne me suis jamais habitué, la perte de mes parents dans cet ouragan. Ils étaient en voiture et rentrer à la maison, je me rappelle la maison sentait les cookies tout chaud que je venais de préparés pour eux. J'étais toute contente à l'idée de partager un gouter avec eux, mais je n'avais pas vus du haut de mes huit ans que le temps avait brusquement changer. Ils n'étaient jamais rentrer, je le compris après le coup de fil du shériff. « Joannah, c'est bien toi ? » Je ne savais pas c'était qui au départ. « Joannah, c'est Don, le shériff tu es là » « Oui c'est moi, où est papa et maman ? Les cookies vont refroidirent » « Joannah, ils ne rentreront pas à la maison. ... je viens de trouver leur voiture retourné dans un champs complètement abimés... Joannah, je suis désolée, ils n'ont pas survécut. » « ... » Les larmes commençaient doucement à couler le long de mes joues, laissant une large trainé d'eau chaude et salé. Je ne répondis pas quand Don me parla. « Joannah, ma puce ne bouge surtout pas, j'arrive tout de suite. » Je laissa le téléphone pendre le long du mur. Je resta un long moment sans bouger, au centre de la pièce. Puis je ne contrôla plus mon corps. L'assiette de cookies vola en traversant le salon, pour se fracasser sur une des fenêtres de la salle. Les chaises tombèrent. Des choses jusque là intact du temps c'étaient brisé en une fraction de seconde. Tous mon passé vola en éclats, les larmes brouillaient ma vue, je ne voyais plus rien. Je ne me serais pas arrêter si Don ne serait pas venus m'arrêter, je m'écroula dans ses bras. Et puis sombra. Ensuite je ne me souviens de rien. Quand on me le raconte, j'aurais dormis tout une semaine entière. Puis je fus placé chez ma tante qui habitait dans la même ville que moi. Tout ce passa pour le mieux ensuite. J'étais devenus plus calme, je ne pensais à mes parents que quand je me sentais seule c'est à dire tous le temps. Je n'avais pas beaucoup d'amis. Puis je grandis, m'affirmant pourtant mon caractère ne changea pas pour autant j'étais toujours la petite fille fragile, paumé et torturé après la mort de mes parents, aussi naîve et généreuse. Mais toujours aussi douce, timide et sociable. Quand à ma fidélité pour les hommes elle n'a jamais été faible. Aujourd'hui je ne sais plus où j'en suis. Surtout quand il s'agit de deux frères complètement opposés. Illan et Jonathan. Deux opposés. L'un m'a trompé je me suis réfugié dans les bras de l'autre. Pour l'instant je suis célibataire, mais dans tous les cas il faudra que je fasse un choix et c'est sur je souffrirais. Je souffla, je venais de terminer ce que je devais faire dans la ferme, ma journée était fini. En repensant à mon passé, cela me fit pleurer ce que je n'avais pas fait depuis un bon bout de temps à vrai dire. Toujours entrain de refouler mes émotions. Je suis comme ça, une fille renfermée.